
Asuka III : le luxe silencieux, technologie et sérénité
En 2025, AsukaIII mise sur silence, économie d’énergie et IA, recyclage de chaleur, alim. à quai et design son-lumière-flux pour une expérience raffinée.

En 2025, AsukaIII mise sur silence, économie d’énergie et IA, recyclage de chaleur, alim. à quai et design son-lumière-flux pour une expérience raffinée.

Ouvert en 2023 sur le littoral de Hiroshima, le Simose Museum présente les premières galeries flottantes et mobiles au monde, mariant le paysage de la mer intérieure de Seto aux savoir-faire et à l’ingénierie locaux.

Le Mireo Plus H de Siemens n’est plus un simple démonstrateur posé sur un socle de salon professionnel. Il assure des services à l’horaire sur la Heidekrautbahn RB27 au nord de Berlin, ainsi que sur certaines lignes en Bavière, intégrées à l’exploitation courante avec des retournements de ravitaillement en hydrogène d’environ quinze minutes et de longues périodes de service. Le long des lignes, les partenaires déploient des capacités de production et d’avitaillement alimentées par des énergies renouvelables afin de s’aligner sur la grille horaire, et non l’inverse.

À Metz, un spectacle arrête le regard : au sommet d’une tour brute de béton, une élégante demeure d’allure XIXᵉ semble posée en équilibre. L’hôtel s’appelle Maison Heler. Le design est signé Philippe Starck. On n’y vient pas seulement pour dormir, mais pour entrer dans un récit. Après avoir profité de la silhouette, franchissez la porte et suivez les indices disséminés à l’intérieur.

La Setouchi Triennale 2025 se déroule au printemps, en été et en automne. C’est l’un des principaux festivals internationaux d’art au Japon, lancé en 2010, organisé tous les trois ans, et chaque édition accueille environ un million de visiteurs.À Naoshima, Teshima, Shodoshima, Ogijima et sur d’autres îles, l’art contemporain se mêle à la vie quotidienne des habitants au bord de la mer.

Avec Nissan et Waseda, le Japon récupère jusqu’à 98 % des terres rares en faisant fondre les moteurs, et parie sur des moteurs sans aimants.

Bien avant que des chefs étoilés Michelin n’imaginent des plats pour un alcool né du riz, une bouteille venue de la préfecture de Yamaguchi s’est glissée à Paris et a commencé à changer la donne. Son nom était Dassai.

Comment les Parisiens ont trouvé le véritable sushi et le véritable saké : deux décennies à préférer l’artisanat au cliché, et le prologue de la séduction du saké auprès des Français.

Le saké n’est pas une unique recette. C’est une chorégraphie qui mène du riz net à un liquide limpide, chaque étape pensée et exécutée avec précision. On rince et on fait tremper le grain. On le cuit à la vapeur pour que la surface reste ferme tandis que le cœur s’attendrit. On élève le kōji. On prépare un petit levain robuste. On augmente la cuve en trois ajouts mesurés. On fait fermenter au frais, de façon régulière. On presse, on affine, on stabilise, on règle le degré, puis on laisse reposer. Chaque gorgée est l’aboutissement soigné de milliers de choix, pris dans la tiédeur des salles à kōji et dans le silence des cuves froides.

Le saké a d’abord été une offrande sacrée dans le Japon ancien. Au fil des siècles, il est passé des brassins de cour à la production de masse de l’époque d’Edo, jusqu’à devenir la boisson diverse que nous connaissons aujourd’hui et qui se déguste partout dans le monde.